Parole, maternité du masque

Le mot; masques de maternité I Voici le mot que les vent traversent : Pays natal. Les tempêtes sont sa circulation sanguine. Il y a aussi des serpents qui, pour qu'ils pendant éblouissement d'éclairs des chemisettes enlèvent et les foudres dans le même temps avec le noir d'obscurité dans un bol attrapent . Les tempêtes en traversent le pays natal. Elles invoquent un mot doux. L’enfance, qui reste endormi dans ce bol d’obscurité quand les serpents de foudres se meurent. Quand les foudres les filles du ciel dans sa mort auraient énouer ées . La chemisette du serpent, le supplice de la patrie, flotte dans le dernier vent. Là-bas, de la Slavonie à la Bosnie. Et encore plus à l’est jusqu’à la mer. Aurore...

Ⅱ Les verbes sans masque sont des mots consommés de rêves. Leur action n’a pas de visage. N'y a que leur temps par où flottent des îles de tristesse qui avalent les uns les autres . Et la pélotte de maux à se faire mal de nicher dedans. Pour faire naître une communauté de be-idys impersonnels. En poème comme en maternité du masque. Le verbe nu dans des rêves de sons.


Ⅲ Le voilà le mot à se produir en rénaissence: La vie. Et le mot naquit pour la faire mourir. Et un mot qui se ferme. Et un mot qui s’ouvre. Si le coffre cristalin de la langue est de savoir s’il doit ou pas cacher l'obscurité éternelle de la verité celui décidé à faire danser les mots pourrait-il être digne de son destin. Bâtir poème en foyer pour la parole.


IV L’amour est un mot qui justifie la mort. Il se déploie dans le profond et plonge. Dans l’obscurité de l’œil. Dans l’ouverture de l'inquiétude non-dit. Il s’immerge jusqu'au son fond parce que la mort le suit. Et n’a pas peur de la profondeur, son bonne et calme conscience. Là il mûrit ses épis de l'intérieure. Espoir de longue durée. À traverse de nuances de douleurs embarqué en bateau de la mort et de l’espoir. Deux passagers en mot crucifié. L'amour pour eux est la seule voile au-dessous de qui tresaille mer ouverte . La seule voile à transcendre l'océan de la mort.


V

Le mot rempli de bleu est le ciel. Une voûte bleue de son au-dessus du silence crucifiée. Voici un écho à qui rénencent les préoccupés . Ils ne peuvent pas le tendon de la douleur détendre . Le bleuté de voûte rupturer. Le bleuté, le ciel dans le mots. Le bleu, nn mot dans le ciel. Le ciel qui est le mot du bleu. La voûte bleu, Un de vocables fateles crucifié au-dessus du silence.


VI


Le mot qui vole c'est le mot oiseau. Entre les deux, le bleu est démarré Par un vide. Ensuite, il y faut de terre pour Y nicher le mot oiseau. Oiseau le sol solide: Âme. Une âme profonde à s’accrocher à l'oiseau. L’oiseau atteri ne deploie pas ses ailes. Il y reste le vol pour gouverner l’Âme. Comme ce fait le vent au sol. Invisible Maître des auvents cassés.


VII Mot passant entre les doigts: Rivière profonde. J'y trempe mes mains. Nouveaux habitants de profondeur, touchants de gouttes Ne change pas son cours. Juste une ombre Il pénètre le remblai sans quitter Indice. Je retire mes mains. Une poignée de gouttes se collent au mouvement. Flash volé au soleil. Et rien de plus. la rivière continue à couler Plus loin. Mes nouvelles poignées passent Entre les doigts écartés. Irrévocablement.


IX Les connaissances déposées depuis des décennies Le mot au fond de la chaleur interne Elle se dissout et s'écoule de lui-même. Le mot qui se noie dans un paysage mental de ses nuances. La science disparaît. L'espace reste complètement désert une fois caché la vue intérieure. Orphelin de père inconnu - Le silence est sa langue. Douleur sa racine tubéreuse. Pour nourrir les dents affamées quand de là la naissance deborde. Quand la lumière éclate et la musique agrandi À l'oreille horrible de l'hiver. Quand la lumière éclate. La vie à laquelle nous ne connaissons pas la science. Cette connaissance perdue sur la lumière et la douleur. La physicalité de la langue est toujours à buissoner.

X Judas-Parole qui a dénoncé le parole-Jésus L'homme qui a éprouvé la Parole - Jésus l'Oint L'homme-parole qui a prononcé la Parole Verité - Jésus l'Oint L'Homme-Parole qui denonce la Parole Verité - Judas son parole Assistant Un homme qui est Judas-Parole c'est Parole-Judas Le mot dont l'homme est s'est absenté au commencement Homme mot tacite crucial-crucialise La Parole cruciale au début pour être cruciale à la fin L'éternité qui habite la Parole Vie-Parole , La Parole Ano, anonciateuse Sauveteur.


                               I.

Le mot; masques de maternité Je Voici le mot que le vent traverse : Homeland. Les tempêtes sont sa circulation sanguine. Il y a aussi des serpents qui, pour éclairs de revêtement et de foudre avec dans un bol d’argent. Les tempêtes traversent la patrie.

Ils invoquent un mot doux. L’enfance, qui 

reste dans un bol d’obscurité quand les serpents meurent Foudre. Snakeshood, tourment de la patrie, flottant dans le dernier vent. Là-bas, de la Slavonie à la Bosnie. Et encore plus à l’est jusqu’à la mer. L'Aurore..

Les verbes sans masque de mots sont consommés Rêve. Leur magasin n’a pas de visage. Il y a un moment de tristesse qui flotte. Et la balle fait mal de nicher dedans. Pour naître une communauté d’idys. En chanson comme la maternité du masque Verbe nu dans des rêves de bruit

Le mot qui est réessus: La vie. Et un dernier mot. Et un mot qui se ferme. Et un mot qui s’ouvre. Coffre en cristal La langue est de savoir s’il doit harna obscurité éternelle cacher.

                          IV 

L’amour est un mot qui justifie la mort. C’est profond et plongeant. Dans l’obscurité de l’œil Dans l’ouverture du non-dit. Il s’immerge parce que La mort suit. Et n’ayez pas peur de la profondeur, votre En bonne conscience. Il mûrit là son Classe intérieure. Espoir de longue durée. Valérie souffre dans les nœurs de la mort et de l’espoir. Deux Un passager en un mot crucifié. Aimez-les C’est la seule voile qui a été utilisée pour piquer la mer. La seule voile qui transcende la mer.

                                           V 

Le mot rempli de bleu est le ciel. Une voûte bleue du son crucifié au-dessus du silence. Voici un écho de ce qui les préoccupe. Ils ne peuvent pas détendre le tendon de la douleur. Le bleu o rupture de voûte. Le bleu qui est le ciel dans Mots. Un mot bleu dans le ciel. Le ciel qui est le mot bleu. Bleu Une voûte de son crucifié sur le silence. Nous. Le mot qui vole le mot est oiseau. Entre les deux, le bleu est démarré VI Le mot qui vole c'est le mot oiseau. Entre les deux, le bleu est démarré Par un vide. Ensuite, il y faut de la terre pour Y nicher le mot oiseau. L'Oiseau au sol solide: Âme. Une âme profonde à s’accrocher à l'oiseau. L’oiseau atteri ne deploie pas ses ailes. Il y reste le vol pour gouverner l’Âme. Comme ce fait le vent au sol. Invisible Maître des auvents cassés.

                                          VII 

Un mot qui passe entre vos doigts: Rivière profonde. J’y plonge les mains. Nouvelles profondeurs résidents toucher gouttes . Ils ne changent pas de cap. Juste une ombre Pénètre par le banc de sable de temps n'abandonnant pas, ne laissant pas vide le Sentier. Je suis hors de mes mains. Une poignée de gouttes C’est une nouvelle course. Flash volé Soleil. Et rien de plus. Le fleuve coule Encore. Je Passe mes nouvelles poignées entre les doigts tendus. Irrémédiablement.

                                         VIII 

Un mot qui est la connaissance: Rien Et la Profondeur - La Parole de La Connaissance. Je suis là-dedans. J’ai sent le vide douloureux et c'est un mot Immergé dans la profondeur et imprimé en tout. Il adhère à Rien dans sa profondeur. De Profondeurs, de Rien ne passe le vent. C’est éternel. Me passe aussi - un mot proche de Silence. Alors à quoi bon quand Je se noie dans Rien. Profonde. Connaissances ça me m’a bloqué. M'écrase Ven téternelle. Moi qui sais. Qui est Rien. Profondeur. Absolue. C’est une question de connaissance. C’est reparti. Ce vent venteux.

                                               IX 

Connaissances dépositionnées depuis des décennies au fond de la chaleur à l'intérieure de la vie se dissout et s’enfuit d’elle-même. Le paysage conscient se noie dans les nuances. La science disparaît. L’espace reste complètement désert parfois caché par la vision intérieure. Orphelin de père inconnu - Le silence est sa langue. Douleur sa racine bulbeux. Pour nourrir les dents affamées quand la naissance vise à partir de là. Quand la lumière éclate et la musique d’âge sonne. À une oreille hivernante. Quand la lumière éclate. Vie, nous ne connaissons pas la science. Cette connaissance perdue de la lumière et de la douleur, la physicalité de la langue encore dans enchainé â la fer du temps déséquilibré.

                                     X 

Le mot JudasHommeParole est le mot qui suis-ParoleJésusfils d’homme qui a prouvé la Parole - Jésus l’Oint l’homme-mot qui a exprimé la parole - Judas mot L’homme-parole qui a montré par bisous de la bouche la Parole Jésus l’Oint L’homme qui est Judas le mot Judas le mot absent au début Mot non-dit prononcé par l'absance-crucial de l’homme Un homme condamné initialement crucial à la fin de l’éternité qui habite la Parole De Vie-Parole, MessageParoleTestamentaire


                               I.

Le mot; masques de maternité Je Voici le mot que le vent traverse : Homeland. Les tempêtes sont sa circulation sanguine. Il y a aussi des serpents qui, pour éclairs de revêtement et de foudre avec dans un bol d’argent. Les tempêtes traversent la patrie.

Ils invoquent un mot doux. L’enfance, qui 

reste dans un bol d’obscurité quand les serpents meurent Foudre. Snakeshood, tourment de la patrie, flottant dans le dernier vent. Là-bas, de la Slavonie à la Bosnie. Et encore plus à l’est jusqu’à la mer. L'Aurore..

Les verbes sans masque de mots sont consommés Rêve. Leur magasin n’a pas de visage. Il y a un moment de tristesse qui flotte. Et la balle fait mal de nicher dedans. Pour naître une communauté d’idys. En chanson comme la maternité du masque Verbe nu dans des rêves de bruit

Le mot qui est réessus: La vie. Et un dernier mot. Et un mot qui se ferme. Et un mot qui s’ouvre. Coffre en cristal La langue est de savoir s’il doit harna obscurité éternelle cacher.

                                                IV 

L’amour est un mot qui justifie la mort. C’est profond et plongeant. Dans l’obscurité de l’œil Dans l’ouverture du non-dit. Il s’immerge parce que La mort suit. Et n’ayez pas peur de la profondeur, votre En bonne conscience. Il mûrit là son Classe intérieure. Espoir de longue durée. Valérie souffre dans les nœurs de la mort et de l’espoir. Deux Un passager en un mot crucifié. Aimez-les C’est la seule voile qui a été utilisée pour piquer la mer. La seule voile qui transcende la mer.

                                           V 

Le mot rempli de bleu est le ciel. Une voûte bleue du son crucifié au-dessus du silence. Voici un écho de ce qui les préoccupe. Ils ne peuvent pas détendre le tendon de la douleur. Le bleu o rupture de voûte. Le bleu qui est le ciel dans Mots. Un mot bleu dans le ciel. Le ciel qui est le mot bleu. Bleu Une voûte de son crucifié sur le silence. Nous.

VI

Le mot qui vole c'est le mot oiseau. Entre les deux, le bleu est démarré Par un vide. Ensuite, il y faut de terre pour Y nicher le mot oiseau. L'Oiseau au sol solide: Âme. Une âme profonde à s’accrocher à l'oiseau. L’oiseau atteri ne deploie pas ses ailes. Il y reste le vol pour gouverner l’Âme. Comme ce fait le vent au sol. Invisible Maître des auvents cassés.

                                          VII 

Un mot qui passe entre vos doigts: Rivière profonde. J’y plonge les mains. Nouvelles profondeurs résidents toucher gouttes . Ils ne changent pas de cap. Juste une ombre Pénètre par le banc de sable de temps n'abandonant pas,ne laissant pas vide le Sentier. Je suis hors de mes mains. Une poignée de gouttes C’est une nouvelle course. Flash volé Soleil. Et rien de plus. Le fleuve coule Encore. Je Passe mes nouvelles poignées entre les doigts tendus. Irrémédiablement.

                                         VIII 

Un mot qui est la connaissance: Rien Et la Profondeur - La Parole de La Connaissance. Je suis là-dedans. J’ai sentu le vide douloureux et c'est un mot Immergé dans la profondeur et imprimé en tout. Il adhère à Rien dans sa profondeur. De Profondeurs, de Rien ne passe le vent. C’est éternel. Me passe aussi - un mot proche de Silence. Alors à quoi bon quand Je se noie dans Rien. Profonde. Connaissances ça me m’a bloqué. M'écrase Ven téternelle. Moi qui sais. Qui est Rien. Profondeur. Absolue. C’est une question de connaissance. C’est reparti. Ce vent venteux.

                                               IX 

Connaissances dépositionnées depuis des décennies au fond de la chaleur à l'intérieure de la vie se dissout et s’enfuit d’elle-même. Le paysage conscient se noie dans les nuances. La science disparaît. L’espace reste complètement désert parfois caché par la vision intérieure. Orphelin de père inconnu - Le silence est sa langue. Douleur sa racine bulbeux. Pour nourrir les dents affamées quand la naissance vise à partir de là. Quand la lumière éclate et la musique d’âge sonne. À une oreille hivernante. Quand la lumière éclate. Vie, nous ne connaissons pas la science. Cette connaissance perdue de la lumière et de la douleur, la physicalité de la langue encore dans enchené â la fer du temps deséquilibré.

                                     X 

Le mot JudasHommeParole est le mot qui suis-ParoleJésusfils d’homme qui a prouvé la Parole - Jésus l’Oint l’homme-mot qui a exprimé la parole - Judasmot L’homme-parole qui a montré par bisous de la bouche la Parole Jésus l’Oint L’homme qui est Judas le mot Judas le mot absent au début Mot non-dit prononcé par l'absance-crucial de l’homme Un homme condamné initialement crucial à la fin de l’éternité qui habite la Parole De Vie-Parole, MessageParoleTestamentaire